Sans avoir lu le rapport, je présume que cela ne doit pas être très loin de la vérité.
Pertes lors de la pêche, pertes en stabulation lors des premiers jours de captures, le voyage, le grossiste, le transport, le détaillant et le soigneur final.
Ca fait beaucoup d'étapes et pas beaucoup de gens qui seraient amener à considérer l'animal comme remplaçable et juste un peu d'argent plutôt qu'un organisme qu'on admire.
certaines espèces sont plus solides que d'autres ou peut être péchées en plus grand nombre.
D'autres sont intrinsèquement trop fragiles comme Zanclus ( enquête US 99,99% des poissons morts après une année après l'achat et Chelmon).
Certains achats récents me pousseraient à croire que le cyanure est en train de revenir en force sur les Philippines, de surcroit.
Bref, quand on regarde au dela de l'achat en boutique, c'es pré occupant et très responsabilisant. Mais en face, on a aussi pêche à la dynamite, destructions des récifs, pollutions chimiques, et pour courronner le tout acidification des océans et réchauffement provoquant les blanchissements.
Faire mourir à distance ou faire mourir sur place à plus ou moins grande vitesse, je ne sais pas lequel est le pire.
Si l'on peut reproduire en captivité, la balance penche plus alors plus d'un côté.
Une aspirine et un 'ti rum siouplait